Tu aimeras ton prochain comme toi même | |
Tu aimeras ton prochain comme toi même : Hillel, l'un des plus grands sages de la Michna voit dans ce commandement l'un des fondements essentiels du judaïsme. Aimer son prochain c'est avoir, concrètement, le souci de son bien-être, matériel et spirituel. |
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Assurez à vos enfants une éducation juive authentique | |
Pour vivre le judaïsme, il faut encore et toujours apprendre. Pour transmettre le judaïsme, il faut enseigner. Le premier devoir des parents juifs est de veiller à assurer une véritable éducation juive à leurs enfants. |
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Etudiez la Torah tous les jours | |
Rabbi Schnéour Zalman de Liadi, le fondateur de la 'hassidout 'Habad explique que les moments fixés pour l'étude de la Torah sont des rendez-vous avec notre âme, une ouverture vers l'infini de la Sagesse divine. Par l'étude, chacun peut affiner sa personnalité, percevoir avec une acuité de jour en jour plus grande les vrais enjeux de sa vie. |
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Mettez les téfilines tous les jours dès l'âge de 13 ans (sauf le Chabbat et les fêtes) | |
La Torah décrit les téfilines comme un signe. En les portant, l'homme, le jeune homme, témoignent de leur engagement juif.
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Fixez une mézouza sur le linteau droit de vos portes | |
Un mézouza désigne une maison ou un chambre comme " juive " marquant ainsi la dimension vraie du lieu auquel elle introduit. Elle doit être fixée sur le linteau droit de chaque porte de la demeure (à l'exception des sanitaires). Le Nom divin de Shada-i qui apparaît à l'extérieur de chaque mézouza, est expliqué par nos Sages : D.ieu est " le gardien des portes d'Israël " . La mézouza protège la maison et ses occupants.
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Donnez la tsédaka (la charité) tous les jours (sauf le Chabbat et les fêtes) | |
Le mot tsédaka est généralement traduit par " charité ". En fait, il renvoie à l'idée de justice . Le mot charité suggère une attitude condescendante, la tsédaka est d'abord œuvre de justice. Et de surcroît donner, dans ce contexte c'est aussi prendre conscience de la charité reçue de D.ieu. Disposer, chez soi, en évidence, d'une boite de tsédaka constitue un puissant rappel de ce devoir quotidien (hormis le Chabbat et les jours de fête). |
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Ayez des livres sacrés chez vous | |
Leur présence est déjà enseignement : elle est un constant rappel de l'importance de l'étude. Elle éclaire votre foyer. Il est bon de posséder au moins un 'Houmach (les cinq livres de la Torah), un livre de Psaumes, un Siddour (un livre de prières). |
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Chaque femme, chaque fille juive allumera les bougies de Chabbat et des jours de fête | |
La lumière est l'objet le plus immatériel du monde physique. Le Chabbat est un jour différent, un jour de plénitude, naturellement ouvert à la spiritualité, annonciateur du monde futur.
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Pour préserver le bonheur, le bien être, l'unité de votre famille, respectez les lois de la pureté familiale | |
Le mariage et la vie du couple sont traités très minutieusement par la tradition juive. Force est de constater le nombre quasiment insignifiant de divorces dans les foyers qui observent ces lois. Sans aucun doute, on peut en conclure que leur respect développe et approfondit l'harmonie, l'amour vrai entre l'épouse, le mari, leurs enfants.
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Observez les lois de la Cacherout chez vous et au dehors
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L'absorption de nourritures est indispensable à la vie mais nous sommes aussi ce que nous mangeons. La spiritualité juive ne s'exclue pas du monde. C'est dans le concret de l'existence qu'elle trouve d'abord son assise. Manger cachère c'est exprimer cette vérité extraordinairement profonde de notre foi.
Les lois de la cacherout sont complexes. Fondamentalement, hors des produits végétaux naturels, il ne faut consommer que des poissons pourvus d'écailles et de nageoires, de la viande cachère. Les autres produits doivent avoir été reconnus cachers par une autorité compétente. |